Exposition Collective « Playground? »
Découvrez une partie de mes derniers travaux lors d’une exposition collective autours du theme de la prochaine Coupe du monde de football au Qatar.
Exposition a la Mazel Galerie , Bruxelles. BE
Exposition Collective « Playground? »
Découvrez une partie de mes derniers travaux lors d’une exposition collective autours du theme de la prochaine Coupe du monde de football au Qatar.
Exposition a la Mazel Galerie , Bruxelles. BE
« FRAGILE » Exposition collective à Bruxelles ; ZEVS _ HENDRIK CZAKAINSKI _ DAN ROLLINGS _ KURAR
S16 GALLERY, MONTREAL
« STUDIES », Solo show du 3 au 28 Mars 2022
It is with oil and aerosol on canvas that French artist KURAR brings us contrast between current freedoms and the prices of life in a world that has implacably stamped its pace on
Perspective ! Tout n’est que perspective, dans la vie, dans l’art, dans nos projets. Nous
fixons cet horizon qui parfois nous semble tout proche et atteignable et qui en un rien de
temps s’éloigne. Ce même horizon que nous avons beau chercher dans nos mégalopoles,
s’offre à nous dès les derniers blocs de béton passés.
Suite à l’exposition « Machine don’t dream » qui se déroule actuellement à Shanghai, j’ai réalisé cette série de digigraphie en edition trés limité.
« MACHINE DON’T DREAM »
Exposition itinérante dans toute la Chine.
Ravi de vous annoncer que depuis le 29 mai 2021 la tournée annuelle 2021 de l’exposition « Machines Don’t Dream », organisée par ARTMART a ouvert ses portes à Shanghai, puis, Chengdu, Pékin, Hangzhou, Shenzhen et Guangzhou.
KURAR dans le Guide de l’art contemporain urbain 2020, hors série du magazine GRAFFITIART, regroupant les 50 artistes internationaux les plus influents de cette année
J’ai eu la chance de pouvoir travailler en collaboration avec Akhenaton, via la galerie Artcan à Marseille, sur la personnalisation de sa veste pour le tournage du clip » Je suis Marseille », avec le groupe « 13 Marseille Organisé ».
DYSTOPIA
Kurar & Lucas RibeyronDuo-Show du 15 octobre au 14 novembre 2020
[caption id="attachment_10308" align="aligncenter" width="601"] KURAR_ »Generation »_146x97cm[/caption]
« Nous vivons dans un monde où un arbre a financièrement plus de valeur mort, que vivant, où une baleine a plus de valeur morte que vivante. Tant que notre économie fonctionnera dans ce sens et que les entreprises seront non régulées, elles vont continuer à détruire les arbres, à tuer des baleines, à exploiter la terre et à pomper le pétrole du sol, même si l’on sait que cela détruit la planète et que l’on dégrade le monde des générations futures. Cette pensée à court terme provient de la religion du profit à tout prix, comme si magiquement chaque entreprise allait égoïstement donner le résultat optimal. Cela touche l’environnement depuis longtemps. Ce qui fait peur et ce que l’on espère être la goutte d’eau qui va montrer à notre civilisation que cette théorie est bancale depuis le début, c’est que c’est à notre tour d’être l’arbre, la baleine. Notre attention peut être exploitée, nous valons plus pour une entreprise si nous passons du temps devant un écran, à regarder une pub, que si nous le consacrons à une vie enrichissante. Et nous voyons le résultat. Les entreprises utilisent une intelligence artificielle puissante pour nous abêtir et capter notre attention sur ce qu’ils veulent, et non sur ce qui est le plus cohérent avec nos buts, nos valeurs, nos vies… » (Justin Rosenstein – Extrait de « The Social Dilemma »)
Rien ne pouvait mieux illustrer le dialogue qui prendra place à la galerie Taglialatella à partir du 14 octobre 2020 entre les artistes Kurar et Lucas Ribeyron que le propos de Justin Rosenstein, l’un des grands contributeurs au développement des outils, moteurs et applications que nous connaissons et qui, après avoir été au cœur du réacteur du monstre technologique pendant de nombreuses années, dénonce cette accélération de l’effondrement.
Dans ce dialogue, Lucas Ribeyron utilise la vidéo surveillance comme expression iconographique afin de mettre en exergue à quel point les nouveaux moyens de captation ont modifié et retournent notre perception du monde, et comment les médias technologiques, par la saturation d’images et d’informations, sont devenus aveuglément la nouvelle religion ; Kurar nous montre à travers ses symboles et ses représentations grinçantes les dérives auxquelles nous sommes confrontés et les conséquences de cet appât immédiat du profit sur notre cerveau mais également sur notre environnement.
Mais la transcendance étant encore possible, les deux artistes nous invitent à sortir de l’obscurité de nos consciences. Pour Kurar l’œuvre « Don’t follow the group » est l’hymne pour sortir de l’enfer moutonnier et colorer le monde ; de même, « les mots » en tant qu’expression de la réflexion, de la richesse intellectuelle et de la connaissance sont la meilleure « arme ». Pour Ribeyron la lune, emblème de l’inexorable cyclicité de la nature, éclaire sur ce monde : l’humain peut s’effondrer, la nature continue son cycle. Cette adversité nous ramène à notre modeste condition et nous interroge aussi sur l’action de l’Homme sur les Autres et sur son environnement…. Dans ce tumulte la Lune imperturbable fige l’instant et nous offre une lucidité nouvelle vers la contemplation encore possible d’une lumière au bout du tunnel.
[caption id="attachment_5889" align="aligncenter" width="835"] Lucas Ribeyron (1988) / Ouroboros entre les pieds de Janus d’après Pierre de Franqueville / 2020[/caption]
[caption id="attachment_5504" align="aligncenter" width="797"] KURAR_ Oil and aerosol on canvas named FRAGILE FREEDOM[/caption]
[caption id="attachment_5890" align="aligncenter" width="1200"] KURAR_Don’t follow the group_ 195x130cm[/caption]
Liens vers le site de la Galerie Taglialatella pour plus d’infos ;
https://www.djtfa-paris.com/kurar-et-lucas-ribeyron-duo-show
La GCA Gallery propose de découvrir quelques oeuvres de l’artiste Kurar, du 15 novembre au 22 Fevrier 2020 : Seront présentées dans cette exposition une sculpture, des oeuvres sur toiles et sur papiers.